Skip to main content

PFQO_le_projet

Nous sommes ravis de vous présenter Plus fort que l'oubli, notre projet de documentaire de création  qui relie le Bénin et la Martinique. Ce voyage cinématographique explore les cultures, les histoires et les voix uniques des deux territoires. Réalisateurs et auteurs, nous  apportons une perspective authentique et captivante à travers un récit visuel, riche et émouvant.

Nous sommes ravis de vous présenter Plus fort que l'oubli, notre projet de documentaire de création  qui relie le Bénin et la Martinique. Ce voyage cinématographique explore les cultures, les histoires et les voix uniques des deux territoires. Nos réalisateurs et auteurs apportent une perspective authentique et captivante à traversun récit visuel, riche et émouvant.

Au commencement....

Une rencontre fortuite à Ouidah initiée par Janvier Nougloï, le Directeur du Centre Culturel International de Rencontre John Smith de Ouidah. 

Et ce qui devait être petit reportage sur la rencontre  de Nicole Cage avec la terre de ses ancêtres s'est imposé à nous comme une aventure humaine entière.

Premières intentions

Plus fort que l’oubli, est une déambulation poétique de l’auteure Nicole CAGE, de son départ angoissé et impatient de Fort-de-France, jusqu’à Ouidah qu’elle atteint au milieu de la nuit, en état « d’apnée émotionnelle ». Une déambulation qui emprunte tantôt le rythme de l’écriture des pages qu’elle griffonne avec fièvre, tantôt celui des visites mémorielles, des prestations littéraires et artistiques ou celui, plus heurté, des images vieilles de quatre siècles qui semblent jaillir de nulle part et se bousculent dans sa tête, se disputant sa mémoire et ses souvenirs.

Comme répondant à un appel d’ailleurs, je me suis laissé convaincre par l’envie de l’auteure de concrétiser en image et son, son parcours, de témoigner de son besoin de tresser physiquement l’une à l’autre, les deux bouts de cette corde subtile et oubliée qui lie encore l’Afrique et sa diaspora. Et ce film comme une suite de réponse à une série de questionnements, nous fera découvrir ce qui, plus fort que l’oubli, éveille l’esprit de Nicole CAGE au contact de Ouidah, des siècles après. 





Conter ce savant mélange de poésie, de danse, d’invocation et de rituel séculaire, dans le labyrinthe des souvenirs où viennent s’entrechoquer rêves et illusions métaphysiques. S’immiscer avec lenteur dans l’intimité mémorielle de l’auteure, pour saisir l’insaisissable appel de la Terre-mère, retrouver Ouidah, l’Afrique, les couleurs, les émotions qui rappellent des senteurs oubliées. Des danses et des chants qui donnent la chair de poule.  Faire un conte d’images et d’instants solennels, saisis dans le vif de l’émotion et des sentiments qu’éveillent les rencontres, les échanges, et l’envie de la poétesse d’en laisser des signes manuscrits, des vers et des proses, des incantations…, promener, flâner et se laisser aller sur les ailes de l’oubli. Telle la mer qui de ses vagues efface les pas sur ses bords, marcher dans la présence des ancêtres, invisibles, mais bien présents, riant criant, chantant, pleurant de douleur et de joie ; aussi de son retour.

La personne humaine plus qu’un corps et un esprit, semble être une mémoire intemporelle de conservation et de préservation du patrimoine immatériel des peuples. Un patrimoine que le parcours de Nicole CAGE vers la terre de ses ancêtres découvre et déshabille avec ferveur et émotion._



Trouver les images justes et les témoignages vifs pour conter ce parcours, pour nous raconter Nicole CAGE à la rencontre de son passé si lointain et vivant pourtant. C’est le défi qu’il s’agit de relever ; caméra, micro et lumière en main.  Retrouver la voix intarissable des âmes immolées, immortaliser son refus de pleurer et sa volonté de faire face à l’inqualifiable traite.  Voilà ce qu’il s’agit de magnifier dans ce film.

Plus fort que l’oubli vient sublimer l’art du conte qui exalte les sentiments et mythifie les personnages ; nous emporter dans l’intime de Nicole CAGE qui se ravive au contact de l’Afrique, et porte l’ultime message : Qu’hier ne soit jamais plus. 





Une première réécriture en Martinique

Grâce au partenariat entre la ville de Ouidah au Bénin à la Ville de Saint Esprit en Martinique, le CCRI-JS de Ouidah et la Médiathèque WW de Saint Esprit se sont donné la main pour rassembler les trois auteurs que sont la poétesse Nicole Cage et les deux rélisateurs Noukpo Whannou et Christian Foret pour quatre semaines d'intenses échanges de recherche et de création autour de ce projet. il a surtout été question d'approfondir l'approche sociale de ce documentaire et explorer les raisons profondes de la métamorphose.

de cette belle aventure. un traitement est née qui definit mieux le projet et recense l'ensemble du parcours de Nicole Cage  de même que son périple depuis la Martinique en passant par le Ouidah, Cotonou, Abomey, Ganvié, Basse Terre, Le Vauclin, Fort de France, .....

Une recherche en profondeur sur le texte à l'origine du projet

L'œuvre à l'origine de cette belle aventure ne saurait rester inaboutie. 

la CTM vient en appui par une aide à l'écriture au profit de l'auteur. Nicole CAGE a pu ainsi poursuivre l'écriture de l'œuvre littéraire du texte "Plus fort que l'oubli". 

Cette aide  a aussi permis à Nicole Cage de faire un tour au Bénin et repartir suer ses pas dans le village de Dédomè où il était prévu qu'elle revienne pour se faire intronisée princesse. 

 



Nous avons passés d'intenses moments à la rencontre du passé, le regard tourné vers le futur...






La suite, un retour en Martinique pour repérer ce qui dans le parcours garde la mémoire et transcend l'oubli....





Rencontre avec
le Professeur Tidjani SERPOS

Dans la forêt sacrée de  Dédomè

Distinctions des amis de La princesse 

Prêt à accompagner Plus fort que l'oubli ?

Participez à l'aventure cinématographique !